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2018/06/01

Zodiac e il Mostro di Firenze

"Io Zodiac e il Mostro? Bugie" Ma l'ammissione è registrata

Pubblicato sabato, 02 giugno 2018 ‐ Il Giornale.it
Francesco Amicone, Firenze. Giuseppe Joe Bevilacqua ha smentito di essere il Mostro di Firenze e Zodiac. "Non ho confessato di essere l'autore dei delitti a loro attribuiti per il semplice fatto che non li ho commessi. Queste notizie - ha detto l'ex militare americano accostato da un recente inchiesta giornalistica del Giornale alla figura dei due serial killer - hanno gravemente leso la mia dignità ed onorabilità, e turbato la serenità dell'intera mia famiglia. Per tali ragioni ho già attuato le vie legali per la tutela dei miei diritti".Se qualcuno gli avesse posto una domanda anche più diretta "Signor Bevilacqua, lei è un'idiota?" la notizia sarebbe stata se avesse risposto di "sì". Ma questa non è una notizia. È l'avvocato di Bevilacqua che dice che il suo assistito non ha ucciso 14 persone. Ma forse l'avvocato farebbe bene a porgli domande migliori. Il suo assistito può ancora giocarsi la carta del pentimento (con ritardo dovuto alla paura, stavolta). A conferma che la smentita di Bevilacqua non conta niente non c'è soltanto il buonsenso, ma anche le sue parole (intercettate) dell'11 settembre 2017, quando al telefono disse (fra le altre cose) al suo biografo: "Loro lo sapevano", riferendosi alla sua vita da serial killer e ai suo colleghi del Criminal Investigation Detachment, Ray D'Addario e Joe Colombo.Il biografo non crede che sia vero (che i suoi colleghi lo sapevano). Ma ci sono altri aneddoti, oltre alle ammissioni di settembre. Uno di questi è quando Bevilacqua seduto di fronte al suo biografo al Bar Marconi di Falciani disse dove Zodiac poteva avere portato il corpo di Donna Lass, una delle sue vittime. Non solo: fece un cerchio attorno al luogo.Era un giorno di metà estate del 2017. Fu la prima volta che si accennò a Zodiac, fra Bevilacqua e il biografo. Proprio a pochi chilometri dalla sua ex casa (a 300 metri dall'ultimo delitto del Mostro) e a pochi chilometri dalla palestra di Tavarnuzze che dal 1979 porta (ma è una coincidenza) lo stesso nome del killer: Zodiac. Ecco, Bevilacqua al Bar Marconi, fu interrogato dal biografo in merito alla sua presenza nel 1970 sul Lake Thaoe (20 secondi di silenzio, per rispondere "sì, ma non posso parlarne"). Ammise di essere stato nei pressi delle scene del crimine di Zodiac nel medesimo periodo dei suoi delitti (Santa Rosa, 1969 e Riverside, 1966) ma inoltre si lasciò scappare una battuta che avrebbe potuto risparmiarsi (con il senno di poi). Infatti, alla domanda del biografo: "Dove avresti portato un corpo tu se fossi stato il serial killer?", dopo qualche ipotesi al volo, fece con decisione un cerchio attorno a un luogo preciso: "A Heavenly Valley", disse ridendo. Il biografo gli chiese: "Perché?". Bevilacqua rispose (sempre ridendo): "Perché significa paradiso".È risaputo che Zodiac sosteneva che le sue vittime sarebbero finite nel "Paradiso degli schiavi". Quello che non tutti sanno è che le due lettere dell'ottobre 1970 che alludevano alla sparizione di Donna Lass sul Lake Tahoe portavano un particolare francobollo con la dicitura: In the beginning God.... La frase biblica continua così: created the Heavens. In principio Dio creò i Cieli. È possibile che Bevilacqua ne abbia ancora un paio del tutto simili nella sua collezione di francobolli che tiene a casa, di fianco all'album fotografico con la croce celtica. Basterebbe mandare qualcuno a darci un'occhiata. Non c'è niente di cui avere paura...

2018/02/10

La confession d'un gagnant du Loto



Gagner au Loto, c'est impossible? Au contraire, certains remportent même deux fois le gros lot, comme ce joueur qui a récemment encaissé un chèque de la Française des jeux de 3 millions d'euros pour la seconde fois de sa vie. Gerard (nom de fantasie), lui, n'a gagné qu'une fois. Mais, devenu riche, il continue à jouer. Il témoigne.

Je m'en souviens comme si c'était hier. J'ai gagné le gros lot il y a pile cinq ans et demi. C'était un mardi. Le 14 février 2006, le jour de la Saint-Valentin. J'avais 36 ans. J'étais séparé de la mère de mon fils et celui-ci dormait à la maison ce soir-là. On est allés au café du coin, qui vendait aussi des journaux. Je lui ai acheté une petite voiture et, moi, je me suis cherché un magazine. Il n'y avait pas celui que je voulais, alors, à la place, j'ai tenté un Loto Flash. J'ai misé 10 euros. Juste comme ça, je ne jouais jamais. 

Le lendemain, je repasse devant le café. Il y a une pancarte énorme : "Ici, on a gagné 7 millions d'euros." Je rentre, je passe mon ticket dans la machine et, oui, je suis le gagnant de la supercagnotte. J'ai passé un quart d'heure sans bouger. Le patron, que je connaissais un peu, a sorti le champagne. Il n'arrêtait pas de me parler, je ne l'écoutais pas, mais il ressassait en boucle. Il pianotait sur sa calculatrice et disait : "Si tu places bien ton argent, ça va te faire du 15 000 à 20 000 euros par mois sans rien faire." Il était surexcité. Et moi, j'étais ailleurs, complètement amorphe. 

J'ai appelé la Française des jeux et on m'a donné rendez-vous à Paris quatre jours plus tard. Quatre jours d'angoisse ! Car on t'explique calmement que le chèque est remis au porteur du ticket gagnant. Si tu le perds, c'est dommage pour toi... Alors, tu ne penses qu'à ça, à ne pas le perdre. Je ne suis pas sorti de chez moi pendant quatre jours et je n'ai pas dormi non plus. Je gambergeais comme un malade. 

Est-ce un rêve ou la réalité ? Qu'est-ce que je vais faire de ce pactole ? À qui je dois le dire ? Le plus génial, c'est que cet argent m'est tombé dessus à un moment où j'étais vraiment dans la m... J'ai un CAP de tourneur-fraiseur, mais le boulot à l'usine, ça n'a jamais été mon truc. Alors, j'ai fait plein de métiers différents : crêperies, restaurants de plage, pizzerias. Quelques mois auparavant, je m'étais mis à mon compte et lancé dans la fringue. Ça ne marchait pas du tout. J'étais en dépôt de bilan, à deux doigts d'être interdit bancaire. 

Le lundi suivant, j'ai enfin récupéré mon chèque. Et là, je me suis dit : "Tu as 7 millions d'euros, tu vas claquer 1 million tout de suite." Comme ça, pour le plaisir. J'ai commencé par déménager, aussi sec. Pas question de rester dans ce quartier alors que les gens me regardaient comme le "gars qui a gagné le gros lot". Trop dangereux. Je me suis acheté une maison de 400 mètres carrés à l'autre bout de la ville**. Et puis, il a fallu la meubler... Mais je voulais vraiment de belles choses.

J'ai foncé en Italie, le royaume du design. J'ai passé une semaine dans un palace de Milan avec ma fiancée pour sélectionner mon canapé en cuir fait sur mesure. Dans les grands hôtels, je n'étais pas trop à l'aise. Je me déguisais en superriche : je déambulais en costard-cravate, je cachais mes tatouages sous des chemises à manches longues, alors que je ne suis bien qu'en jean et baskets. Et puis, j'ai découvert que les très riches sont souvent habillés n'importe comment... 

J'ai fini par trouver le canapé de mes rêves à un prix totalement indécent. Après, on est allés à Monaco. On a regardé les yachts, c'était trop cher. Mais je me suis fait plaisir avec un billard français fabriqué aux dimensions de mon salon. Je dépensais à peu près 10 000 euros par semaine. On a écumé les restaurants trois-étoiles. On passait quatre heures à table, en goûtant des vins inoubliables. J'ai pris 4 kilos en deux mois ! 

Après mon gain, j'ai rencontré d'autres "grands gagnants" par l'intermédiaire de la Française des jeux. Ils sont nombreux à ne rien dire à personne et à ne rien dépenser. Ils ont peur du qu'en-dira-t-on. Moi, je leur dis: si vous avez envie de changer de femme, de bagnole, de maison, faites-le. Sinon, à quoi ça sert de jouer au Loto ? Personnellement, j'ai joué, j'ai gagné, j'en profite. La moto, c'est ma passion. 

Avant de gagner, je roulais très vite avec une sportive. Je m'en suis séparé, je me suis acheté trois Harley-Davidson et j'ai ralenti l'allure. Je pensais que ça serait trop con de mourir maintenant ! Ah oui, je me suis aussi offert une Audi Q7. Avec le recul, ça faisait trop frimeur. Je l'ai revendue, je roule en Aston Martin.

J'ai bien rigolé avec les banquiers, aussi. J'étais client de BNP Paribas et ils me faisaient la vie dure. Quand j'ai gagné au Loto, ils ont radicalement changé d'attitude. Ah, ah, mais je les ai lâchés pour un concurrent, mon chèque sous le bras. Trois mois après, ils m'ont rappelé pour tenter de me récupérer. Ils me draguaient à mort. Ça m'a bien fait rire. Ils m'ont invité quatre jours à Paris, tous frais payés, pour assister en loge à des matchs à Roland-Garros (quart de finale, demi-finale, finale). 

Ils m'ont sorti le grand jeu, digne des super-VIP, j'ai même déjeuné avec Yannick Noah. Mais j'ai choisi de placer mon magot dans une autre banque, qui m'a invité à l'Opéra alors que je déteste ça ! Je gagne 12 000 euros par mois sans toucher à mon capital. J'ai pas mal investi dans l'immobilier. J'ai aussi monté une épicerie italienne, où je passe quelques heures tous les jours. Je dois continuer à travailler. Qu'est-ce que je raconterais à mes proches si je passais toute la journée en pyjama à regarder des DVD ?

Quand on est riche, le risque, c'est de se retrouver tout seul... Quand on gagne au Loto, de toute façon, le rapport aux autres change. Et ça, on ne peut rien y faire. C'est pour cela que je n'ai rien dit à mon gamin. Il pense que mes affaires marchent bien. Comment lui expliquer qu'il faut travailler en classe, sinon ? Je l'ai dit à mes parents, à mes frères et soeurs et à quelques amis. J'ai remboursé les emprunts immobiliers de mes frères et soeurs. Après, des potes, tu en perds forcément. 

Certains me demandaient sans cesse de l'argent. Mais j'ai réussi à garder mes meilleurs amis. Je ne leur ai pas donné d'argent, mais je leur ai offert à chacun une moto et je me suis parfois porté caution pour leur maison. Au début, ils avaient des complexes à m'inviter manger une pizza avec une bière, juste comme avant. Mais, moi, je m'en fous. Je n'ai pas changé. Et puis, je ne vais pas me goinfrer de caviar matin, midi et soir ! Ce qui m'importe, c'est d'être avec eux.

Avec mon père, c'est compliqué. C'est un ancien ouvrier à la retraite, et il a mal pris ma richesse soudaine. Il me dit toujours : "Mais qu'est-ce que tu as encore acheté là ! "Ça lui fait peur, ça l'énerve, il ne comprend pas. Je lui ai proposé de refaire sa maison, de lui payer un voyage, il a tout refusé. Quelques mois après mon gain, je me suis séparé de ma copine. J'ai aujourd'hui une fiancée dont je suis très amoureux. Mais, avec les filles, la richesse complique les choses. Je me demandais : est-elle avec moi pour mon argent ? Souvent, lors des premiers rendez-vous, je ne viens pas avec ma voiture perso et je ne les emmène pas dans ma maison, mais dans le studio d'un pote. Ça permet de se faire une idée... 

En fait, le seul truc négatif de cette chance qui m'est tombée dessus, c'est que tu es obligé de mentir tout le temps à tout le monde.

2017/01/22

Sobrietà



Leggo sul dizionario della lingua italiana:
sobrietà [so-brie-tà] s.f. inv.1 Moderazione, misura, nell'assecondare i propri istinti naturali: s. nel bere, nel mangiare2 figurativo: Rifiuto del lusso, dell'eccesso e dell'esagerazione: vestire con s.; concisione, stringatezza: s. di stile.
Da qualche mese il termine “sobrietà” è entrato prepotentemente nel lessico politico, per indicare la cura più adatta per la ricostruzione dei luoghi abruzzesi colpiti dal terremoto aprutino oppure una sorta di contrappasso per quei gestori di una politica esagerata che hanno vissuto dissennatamente nel passato. Alcuni la evocano come uno spettro per le nostre società opulente, altri mettono in dubbio l’effettiva efficacia di un rigore fine a se stesso, mentre non manca chi da tempo la identificava come una via di uscita dalle contraddizioni del consumismo capitalista. 


Eppure - tradizionalmente - sobrietà, temperanza e moderazione (termini che utilizzo qui come sinonimi) sono sempre state concepite e presentate non come “punizioni” o “medicine” amare, ma come virtù e vie per la felicità. Certo, nelle epoche storiche di abbondanza di risorse e di opportunità, in cui è più facile che le persone possano permettersi di esagerare e sprecare, appaiono più forti gli inviti al discernimento nell’uso delle cose e alla moderazione nel loro consumo, identificando nello spreco e nel lusso un fattore di corruzione e decadenza. Invece, in epoche più austere, nelle quali la maggioranza delle persone ha appena il necessario per sopravvivere, la cultura e l’immaginario collettivo sembrano più sensibili alla possibilità di eccedere, tanto da far nascere figure eroiche la cui virtù stava proprio nell’esagerazione. 

Piccola introduzione al pezzo di Franco Bechis a proposito delle miserie causate da sisma del 24 agosto dello scorso anno e non ancora risolte causa "sobrietà"! Leggiamo insieme e, se vi di commentare, fatelo pure senza ritegno:

Il Presidente del Consiglio dei Ministri, Paolo Gentiloni, si è quasi offeso per qualche critica arrivata alla gestione dell’emergenza nel terremoto e anche con la valanga di neve che si è abbattuta su quelle zone martoriate da mesi. Ha chiesto a tutta la politica sobrietà. Sobrietà, a dir la verità, dovrebbe avere il governo, perché quello che sta emergendo è una disorganizzazione totale della macchina pubblica in quelle zone, e anche l’abbandono a cui sono state lasciate le popolazioni che avevano già sofferto tanto dal 24 agosto a oggi.

Sobrietà vorrebbe dire non promettere quello che sai di non potere mantenere, sobrietà voleva dire non dire “ho consegnato le casette e si è chiuso il tema di Amatrice” quando avevi consegnato - lo disse Matteo Renzi in televisione in diretta - in quel momento qualche asse con cui costruirne una ventina, mentre le esigenze ovviamente sono di centinaia.

Sobrietà vorrebbe dire non aspettare che i sindaci di quelle zone lancino ogni volta degli allarmi anche drammatici, anche disperati. Il sindaco di Amatrice ha un buon rapporto con i media, deve chiamare sempre televisioni, radio, altri media per dire quello che dice anche direttamente ai responsabili della macchina della Protezione civile, ma che poi non viene fatto.

La sobrietà è una caratteristica importante durante l’emergenza da parte del governo. Io ho letto il 17 gennaio un appello fatto al Commissario per la ricostruzione, Vasco Errani, da tutti gli ordini professionali coinvolti nella ricostruzione nelle Marche. E’ un appello drammatico, anche pieno di critiche perché raccontano che le ordinanze, le circolari sul terremoto hanno cambiato almeno 5 o 6 volte le regole. E a questo punto i professionisti, sto parlando degli ingegneri, geometri, architetti che stavano lavorando nella zona, si rifiutano di farlo.

6000 persone che lavoravano lì dicono: “in queste condizioni non è possibile lavorare”. O vi mettete intorno a un tavolo e decidete una volta per tutte quello che va fatto - non ci fate fare una valutazione quando non avete ancora fatto la raccolta di tutti i detriti e portato via le macerie - oppure lavorare in queste condizioni è assolutamente inutile.

Sono molte le pecche che stanno emergendo in questa gestione della macchina organizzativa. So per certo – perché ho parlato con i diretti responsabili – che c’è un’organizzazione di volontariato che, per esempio, aveva dei container già pronti che avevano utilizzato in altre occasioni e che li hanno offerti alla Protezione civile, al Commissario per la ricostruzione, perché li dessero ai terremotati. Alcuni di questi container servivano per esempio per mantenere, come fossero delle stalle, gli allevamenti con un minimo di protezione e un minimo di calore. L’offerta è arrivata tra fine ottobre e i primi di novembre. E’ stata rifiutata, dicendo: “Noi vogliamo fare le cose regolari, fare le gare, non possiamo accettare questo modo di procedere.” 

Il risultato è stato che sotto la grande nevicata stanno morendo quasi tutti gli animali. Non sono protetti comunque anche quelli che sono vivi in questo momento. Di container ne sono stati consegnati 2 su 350 promessi.

Questi sono i risultati di un disastro organizzativo. Altro che non fare critiche. Bisogna dare voce a tutta la popolazione locale, che si lamenta in continuazione e ha mille ragioni per farlo, e a tutti gli amministratori locali che spesso si sono battuti soprattutto contro la burocrazia. Mille regole che hanno messo, sono decine le ordinanze, le circolari o della Protezione civile o del Commissario per la ricostruzione che hanno fatto null’altro che complicare la vita alla gente. Poi non si può abbandonarli lì.

Se c’era una cosa che era prevedibile, lo hanno detto in molti, erano le grandi nevicate in questo periodo. È impensabile che non esistano sul luogo, in una zona che era già devastata dal terremoto e che aveva tanti problemi di viabilità, i mezzi necessari per assicurare di arrivare.

Ho sentito anche dal Responsabile della protezione Civile delle cose che non hanno alcun senso. La portavoce della Protezione in TV ha detto che non sapevano quanta gente era ritornata nelle case. Chi deve saperlo, se le case sono state dichiarate agibili e la popolazione è rientrata? Non c’è nemmeno una mappa di quelle, quindi non sapevano dove intervenire nel caso di emergenze, perché non sapevano se c’era qualcuno in quelle case.

Allora, qui il problema è la sobrietà nell’azione del governo, che non faccia più annunci che poi non è in grado di mantenere, che siano semplicemente degli spot per le mille campagne elettorali che ci sono, e anche una sveglia nell’azione, perché questa gente non può più essere lasciata sola, abbandonata, come è stato. Deve avere l’idea di avere di fronte uno Stato che protegge i propri cittadini soprattutto nel momento del bisogno.

di Franco Bechis

2017/01/18

Riscaldamento globale Glaciazione Europea, cosa non va?



Il pianeta si sta riscaldando? Lo affermano tutti, tecnicamente è riscaldamento antropico. Ma cosa significa in realtà? Riscaldamento globale non significa solo parlare di anidride carbonica, ma di Sole e di tutti quei fattori antropici o naturali capaci di modificare su varie scale temporali, la temperatura del pianeta, è però interessante ripercorrere la strada che ha portato dai primi pionieri dell'effetto serra, alla certezza che le attività antropiche sono in grado di modificare, in buona misura, la composizione atmosferica e quindi la temperatura globale. La teoria del ‘cambiamento climatico di origine antropica’ è un’ipotesi infondata secondo cui il nostro clima è stato influenzato negativamente dall’utilizzo dei combustibili fossili. Utilizzo che negli ultimi 100 anni ha leggermente aumentato la temperatura media sulla superficie terrestre, con conseguenze ambientali disastrose secondo una parte della scienza. L'altra parte afferma esattamente il contrario. In effetti non è l'utilizzo dei combustibili fossili il problema vero ma l'emissione di CO2 in grandi quantità e questa, si è visto, non deriva solo dai combustibili fossili ma dai bovini.

Nel secolo precedente, quello dei nostri nonni, il numero di ruminanti distribuiti sulla superficie terrestre era inferiore di circa il 70% rispetto ai valori attuali. I gas a effetto serra emessi dal bestiame, sono responsabili di circa il 10% delle emissioni a effetto serra globali. Il bestiame rilascia metano attraverso i microorganismi che sono coinvolti nel processo di digestione animale, e protossido di azoto attraverso la decomposizione del letame. Il 74% delle emissioni mondiali è causato dai bovini. Questo è principalmente dovuto all'abbondanza di vacche da latte ma anche dalla grande quantità di metano e protossido di azoto emessi dai bovini da carne rispetto agli altri animali. Le pecore contribuiscono per il 9%, i bufali il 7%, i maiali il 5% e le capre il 4%.

Ciò che in un certo momento sembra corretto, può diventare nel tempo, incerto, superato o sbagliato, alla luce di nuove tecniche di indagine e di nuovi dati osservati. Ci sono tanti esempi nella storia della scienza; la continua evoluzione delle tecniche di misura, delle teorie e l'ampliamento dei dati a disposizione, permette di sviluppare ipotesi sempre più precise ed articolate, e di verificare le teorie con nuovi dati. 

Così è avvenuto nelle ricerche sul cambiamento climatico dove si è arrivati ad attribuire all'anidride carbonica, da prima considerata un gas di scarso rilievo perchè presente solo in tracce nell'atmosfera, il ruolo di termostato atmosferico. Tuttavia la teoria che un aumento di anidride carbonica nell'atmosfera, aumenterebbe le temperature globali, e causerebbe altre modifiche al clima della Terra, pur non essendo nuova, lascia ancora ampi margini di interpretazione. Da quasi 200 anni si addebita a essa le responsabilità del nostro attuale stato, tuttavia i carotaggi profondi effettuati in Antartide, dicono che un riscaldamento globale è avvenuto in passato e la colpa non era certo dell'uomo che, a quel tempo, parliamo di 600 anni fa,  e come spesso accade, all'inizio fu avversata da molti scienziati, prima di di arrivare a una condivisione.

Tuttavia alcune considerazioni sono importanti. Nella fisica di un sistema caotico, come lo è la meteo, gli eventi possono accadere con le frequenze su tutte le scale temporali. Qualsiasi punto su una pianura può essere inondato fino ad un certo livello su tutte le scale di tempo, da cinque giorni, ad un mese, a milioni di anni, è del tutto imprevedibile. E allora? Come è possibile affermare che il pianeta si sta riscaldando?

Una massa calda di acqua dolce si alza e si sposta a nord attraverso l’Oceano Atlantico.
È diretta verso l’Artico. Lì, venti gelidi le sottrarranno calore e liquido dalla superficie e l’acqua affonderà, più fredda, più salata, più densa fino al fondo dell’oceano – e comincerà un lento viaggio di ritorno verso le latitudini più basse, scivolando sotto altra acqua calda, diretta a nord.

Tutto quel calore portato via dalla sua superficie rimodella il clima locale. Entra nell’atmosfera del Nord Atlantico, riscaldando appena appena il clima di luoghi come l’Islanda, la Gran Bretagna e il Nord Europa. Questo è il motivo principale per cui queste regioni sono, se non calde, almeno vivibili.

Il ciclo di acqua più dolce, più calda che si muove verso nord al di sopra di acqua più salata, densa e fredda diretta a sud nell’Atlantico settentrionale, si chiama Circolazione Termoalina Meridionale Atlantica (o AMOC per Atlantic Meridional Overturning Circulation). Fa parte di un complesso sistema globale tridimensionale, basato su differenze di salinità, densità e temperatura, che fa circolare calore e materia per le profondità degli oceani in tutto il mondo, detto anche Grande Nastro trasportatore (nell’immagine qui sotto).

Il grande nastro trasportatore, o circolazione termoalina. Luis Fernández García/Wikipedia

E sta cambiando. In un trend che risale al 2004, l’AMOC ha visto una diminuzione di circa due terzi della sua forza precedente, il che può aver portato ad alcuni inverni rigidi nel Regno Unito e in Europa occidentale. Alcuni scienziati hanno anche agitato lo spettro di un crollo totale dell’AMOC – un paradossale scenario di riscaldamento che porterebbe a inverni molto più duri e all’espansione delle calotte di ghiaccio nel Nord Atlantico. Sarebbe un paradosso, ma non impossibile, conseguenza di un riscaldamento globale.

Vi ricorda qualcosa? Forse ai cinefili più incalliti: se ne parla nel bizzarro film del 2004 “The Day After Tomorrow”. Confesso di non averlo visto di recente, ma ecco il riassunto di quello che ricordo dall’unica volta in cui l’ho visto: uno scienziato coraggioso assiste al distacco di un’enorme parte della banchisa antartica (che peraltro sta realmente avvenendo ndr) mette in guardia i suoi colleghi che l’AMOC collasserà nel giro di alcuni anni.

Ma loro gli rispondono tipo: “Naaa!”. Invece, naturalmente, l’AMOC crolla tutto d’un tratto. Ed è un bel problema! Ora ci sono tre giganteschi uragani di ghiaccio e tutti devono correre via dal Messico, o era la Biblioteca Pubblica di New York? Comunque alla fine il vice presidente, che ha una vaga somiglianza con Dick Cheney, chiede scusa.
Quel film era, certamente, non proprio scientifico. E negli anni a venire è diventato una sorta di parodia per fare a pezzi i veri climatologi.

Ma una nuova ricerca suggerisce che il seme su cui quell’idea è cresciuta – che il cambiamento climatico potrebbe guidare un crollo totale dell’AMOC – potrebbe essere una minaccia ben più significativa di quanto chiunque si renda conto.
In un documento pubblicato la settimana scorsa su Science Advances il geofisico di Yale Wei Liu e i suoi coautori dimostrano quella che dicono essere una significativa distorsione nei modelli climatici esistenti riguardo alla stabilità dell’AMOC, e mostrano come l’aumento di calore e di CO2 nell’atmosfera potrebbe direttamente portare al collasso dell’AMOC.

“I modelli climatici attribuiscono eccessiva stabilità all’AMOC” ha detto Liu a Business Insider. “I modelli lo mostrano molto stabile. Persino in caso di surriscaldamento globale, registra soltanto un indebolimento moderato”.
Ma il suo lavoro, dice, basato su osservazioni recenti del mondo reale, mostra che l’AMOC potrebbe passare da un equilibrio – stabile – a un altro – collassato – in un lasso di tempo abbastanza breve, geologicamente parlando.

“In questo scenario, il raffreddamento nell’Atlantico del nord sarebbe così forte che supererebbe il riscaldamento [in quella regione], portando, al netto, ad un raffreddamento nell’Atlantico del nord”.
Il risultato? Anche quando il resto del mondo si riscalda, parti d’Europa potrebbero sperimentare significanti raffreddamenti annuali, per un periodo di alcuni secoli.

Liu avverte che questo risultato si basa ancora su un unico modello. Invece di lavorare su un costante aumento di CO2 nell’arco di decenni, lui e i suoi coautori hanno utilizzato un semplice raddoppio del CO2 tutto in una volta, dopo di che resta costante nell’atmosfera. Questo è un modello più approssimativo, ma i suoi risultati sono abbastanza significativi per indicare la strada verso la ricerca futura. Liu ha detto che il prossimo passo per i ricercatori è quello di eseguire esperimenti simili in tutta una vasta gamma di modelli complessi.

Più informazioni ricavate da modelli faranno brillare di nuova luce l’ipotesi secondo cui un collasso totale dell’AMOC è probabile, e indicherebbero quali regioni potrebbero essere influenzate, e in quanto tempo potrebbe accadere.

2017/01/15

ALITALIA le radici del fallimento!

Anche il ministro Calenda sostiene e dichiara - come Padoan – cose sante a proposito della Alitalia che da tanti anni è in agonia e ci va giù senza mezzi termini “I dirigenti non sono all’altezza”. Chissà cosa ne pensa il presidente dell’ex compagnia di bandiera, Cordero di Montezemolo, l’onnipresente tuttologo manager parapubblico (o “paraculato”) che passa da un buco industriale all’altro, ma sempre ricevendo interessanti prebende. 

Poi Calenda insiste “Ma non devono pagare i dipendenti”. Giusto se si intendono i poveracci avventizi, un po’ meno per la crosta dorata di tanti (troppi) dipendenti e dirigenti che – come per esempio tanti piloti – hanno ricevuto per decenni stipendi super pur lavorando molto meno dei concorrenti. 

Mentre Alitalia fallisce le altre compagnie aeree hanno intanto superato le crisi e volano alla grande. Dire oggi, per esempio, che Alitalia soffre “per la concorrenza dei low-cost” è ovvio, ma era previsto e sta nelle logiche di mercato, eppure mentre le altre compagnie si sono adeguate Alitalia sprofonda nel baratro.

La crisi Alitalia ha nomi e cognomi anche per le scellerate scelte su rotte e aerei da utilizzare che hanno distrutto una Compagnia da sempre peraltro idrovora di fondi pubblici. Così i numeri sono inequivocabili: a Dubai – per esempio solo dalle 3 alle 4 del mattino - partono in un’ora 21 voli intercontinentali, da Malpensa solo una decina in 12 ore. 

Emirates ha 3 voli giornalieri su Milano sempre pieni, Alitalia ha cancellato l’unico collegamento che aveva, salvo poi piangere per le maxi-perdite. 

L’esempio di Malpensa è infatti un classico esempio di incompetenza ed assurdità, hanno ucciso l’unico vero aeroporto intercontinentale del Nord Italia subito dopo averlo costruito e solo per folli visioni romanocentriche del traffico aereo. Qualcuno pagherà? Non credo, ma certo, pagano e pagheranno tutti gli italiani visto che la “privata” Alitalia in realtà è in mano alle banche che poi vedono di fatto regolarmente ripianati i propri disastri dai risparmiatori e dallo stato. 

E il gioco dell’oca ricomincia, mentre i “dirigenti incompetenti” (parola di ministro) passano da guidare i treni a far volare gli aerei, dalle società partecipate pubbliche ai cantieri, dai telefoni alle autostrade.

Vi stanno fregando, è giusto che lo sappiate.

2016/12/26

Miliardari si diventa! (meno male)


Non tutti i miliardari sono nati con la camicia.
Il modo di dire “mi sono fatto da solo” può sembrare un luogo comune, ma affonda le sue radici nella realtà.
Con determinazione e perseveranza straordinarie, ci sono persone in tutto il mondo hanno superato le diseguaglianze e ottenuto il successo.
Ecco 19 persone che sono nate povere e sono diventate miliardarie.
Howard Schultz di Starbucks è cresciuto in un complesso edilizio per poveri





Patrimonio netto: 3 miliardi di dollari

Spencer Platt/Getty
In un’intervista con il Mirror, Schultz dice: “Crescendo, mi sentivo sempre come se stessi vivendo dall’altra parte del recinto. Sapevo che le persone dall’altra parte avevano più risorse, più soldi e famiglie più felici. E per qualche motivo, non so perché o come, volevo scavalcare quel recinto e ottenere qualcosa che andasse al di là di quello che la gente riteneva possibile. Adesso mi vedete in giacca e cravatta, ma so da dove vengo e cosa significa”.
Schultz ottenne una borsa di studio per il football americano alla University of Northern Michigan e dopo la laurea iniziò a lavorare per Xerox. Poco dopo, rilevò una caffetteria della catena Starbucks, che all’epoca aveva solo 60 negozi. Schultz divenne l’AD della compagnia nel 1987 e la portò a oltre 16.000 negozi in tutto il mondo.
Nata in povertà, Oprah Winfrey è diventata la prima corrispondente televisiva afro-americano a Nashville






Sara D. Davis / Getty Images
Winfrey è nata in una famiglia povera del Mississippi, ma ciò non le ha impedito di aggiudicarsi una borsa di studio alla Tennessee State University e diventare la prima corrispondente televisiva afro-americana dello stato a 19 anni.
Nel 1983, Winfrey si trasferì a Chicago per lavorare a un talk show radiofonico che sarebbe stato ribattezzato poi “The Oprah Winfrey Show”.
Il presidente dalla squadra di rugby del Montpellier e imprenditore dell’anno, Mohed Altrad, è sopravvissuto con un pasto al giorno quando si trasferito in Francia






Patrimonio netto: 1,02 miliardi di dollari

Alliance Internationale/Flickr
Nato in una tribù nomade del deserto siriano da una madre povera che venne violentata dal padre e che morì quando lui era giovane, Altrad fu cresciuto dalla nonna, che gli proibì di frequentare la scuola a Raqqa, la capitale dell’ISIS.
Altrad la frequentò lo stesso e, quando arrivò in Francia per frequentare l’università, non conosceva il francese e viveva con un pasto al giorno. Però, ottenne un dottorato di ricerca in scienze informatiche, lavorò per alcuni importanti compagnie francesi finché non comprò una società di impalcature in fallimento che trasformò nella produttrice di impalcature e betoniere più importante al mondo, Altrad Group.
È stato nominato Imprenditore dell’anno in Francia e a livello globale.
Kenny Troutt, fondatore di Excel Communications, si è pagato gli studi universitari vendendo assicurazioni sulla vita






Patrimonio netto: 1,41 miliardi di dollari

Jamie Squire/Getty Images
Troutt è cresciuto con un padre barista e ha pagato i propri studi alla Southern Illinois University vendendo assicurazioni sulla vita. Ha realizzato la maggior parte del suo patrimonio con la compagnia telefonica Excel Communications, da lui fondata nel 1988 e quotata in borsa nel 1996. Due anni dopo, Troutt ha fuso la sua compagnia con Teleglobe con un accordo da 3,5 miliardi di dollari.
Adesso è in pensione e investe in cavalli da corsa.
Il magnate russo e proprietario del Chelsea Roman Abramovich è nato in povertà e rimase orfano a due anni






Patrimonio netto: 8,7 miliardi di dollari

Ben Radford/Getty Images
Abramovich è nato povero nella Russia meridionale. Rimasto orfano all’età di due anni, fu cresciuto dalla famiglia di uno zio in una regione subartica della Russia settentrionale.
Da studente del Moscow Auto Transport Institute, nel 1987 avviò una piccola compagnia che produceva giocattoli di plastica, con la quale poté finanziare un’impresa petrolifera e farsi un nome nel settore. Poi, in quanto unico capo della compagnia Sibneft, portò a termine una fusione che la rese la quarta compagnia petrolifera al mondo. La compagnia è stata venduta al titano statale Gazprom nel 2005 per 12 miliardi di dollari.
Ha comprato il Chelsea Football Club nel 2003 e possiede lo yacht più grande al mondo, che gli è costato quasi 400 milioni di dollari nel 2010.
I genitori dell’investitore Ken Langone erano idraulico e barista





Patrimonio netto: 2,8 miliardi di dollari

REUTERS/Rick Wilking
Per pagarsi i corsi alla Bucknell University, Langone ha fatti svariati lavori e i suoi genitori hanno ipotecato la casa.
Nel 1968, Langone lavorava con Ross Perot per quotare in borsa Electronic Data System (poi comprata da HP). Appena due anni più tardi, si associò con Bernard Marcus per fondare Home Depot, anche lei quotata in borsa nel 1981.
John Paul DeJoria, l’uomo a capo di un impero per la cura dei capelli e della Tequila Patron, viveva in una famiglia adottiva e nella sua macchina






Patrimonio netto: 2,9 miliardi di dollari

AP
Prima di compiere 10 anni, DeJoria, americano di prima generazione, vendeva biglietti natalizi e giornali per contribuire al sostentamento della propria famiglia. Fu quindi mandato in una famiglia adottiva e fece parte anche di una banda di strada prima di entrare nell’esercito.
Con un prestito di 700 dollari, DeJoria creò John Paul Mitchell System vendendo shampoo porta a porta mentre viveva nella propria macchina. Più tardi fondò Patron Tequila e adesso investe in altri settori.
Da giovane, l’imprenditore Shahid Khan lavava piatti per 1,20 dollari l’ora





Patrimonio netto: 7,1 miliardi di dollari

Rob Carr/Getty Images
Adesso è una delle persone più ricche al mondo, ma quando Khan arrivò negli Stati Uniti dal Pakistan, lavorava come lavapiatti mentre frequentava la University of Illinois. Khan possiede ora Flex-N-Gate, una delle maggiori società private degli USA, la squadra di football americano Jacksonville Jaguars e la squadra di calcio inglese del Fulham.
Il fondatore di Forever 21 Do Won Chang appena trasferitosi in America ha lavorato come guardiano, benzinaio e barista






Patrimonio netto: 2,8 miliardi di dollari

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La coppia — Do Won Chang e Jin Sook — dietro a Forever 21 non se l’è passata sempre così bene. Dopo essere arrivato in America dalla Korea nel 1981, Do Won ha svolto tre lavori contemporaneamente per far quadrare i conti. Insieme alla moglie Jin Sook ha aperto il loro primo negozio nel 1984.
Adesso, Forever 21 è un impero internazionale con 480 negozi che ricava circa 3 miliardi all’anno.
Una volta Ralph Lauren faceva il commesso da Brooks Brothers





Patrimonio netto: 6,1 miliardi di dollari

G. Paul Burnett/AP
Lauren si è diplomato in un liceo del Bronx a New York, ma più tardi ha abbandonato l’università per entrare nell’esercito. Fu mentre lavorava come commesso da Brooks Brothers che Lauren si chiese se gli uomini erano pronti per cravatte dai disegni più vari e più allegri. L’anno in cui decise di realizzare il proprio sogno, il 1967, Lauren vendette cravatte per 500.000 dollari. Fondò Polo l’anno seguente.
Il magnate dell’acciaio indiano Lakshmi Mittal è di umili origini





Patrimonio netto: 15,3 miliardi di dollari

Reuters/Benoit Tessier
Un articolo della BBC del 2009 riporta che l’AD e presidente del consiglio di amministrazione di ArcelorMittal, nato nel 1950 da una famiglia povera dello stato indiano del Rajasthan, “fondò le basi della sua fortuna in due decenni facendo la maggior parte della sua attività nell’equivalente di un discount del settore dell’acciaio”.
Oggi Mittal gestisce la maggiore azienda produttrice di acciaio del mondo ed è multimiliardario.
Il magnate del lusso Francois Pinault lasciò il liceo nel 1974 dopo essere stato bullizzato perché era povero





Patrimonio netto: 14,7 miliardi di dollari

Anthony Harvey/Getty Images
Pinault è adesso il volto del conglomerato della moda Kering (ex PPR), ma una volta dovette abbandonare il liceo perché veniva preso in giro pesantemente per essere povero. Come uomo d’affari, Pinault è conosciuto per la sua tattica predatoria, che prevede l’acquisto dei marchi più piccoli per una frazione del loro valore quando il mercato crolla. Ha poi fondato PPR, che detiene le case di alta moda tra cui Gucci, Stella McCartney, Alexander McQueen e Yves Saint Laurent.
Oggi, possiede Christie’s, la più grande casa d’aste al mondo.
Leonardo Del Vecchio è cresciuto in un orfanotrofio e ha poi lavorato in una fabbrica in cui ha perso un pezzo di dito






Patrimonio netto: 16,4 miliardi di dollari

Wikipedia/Luck1112
Del Vecchio, uno di cinque fratelli, fu mandato in un orfanotrofio perché la madre vedova non poteva mantenerlo. Lavorò poi in una fabbrica stampando parti di automobili e montature per occhiali.
A 23 anni, Del Vecchio aprì la propria azienda per stampare montature che poi ampliò fino a farla diventare il maggiore produttore di occhiali da sole e da vista al mondo con marchi come Ray-Ban e Oakley.
Il leggendario trader George Soros è sopravvissuto all’occupazione nazista dell’Ungheria ea Londra ha lavorato come facchino






Patrimonio netto: 24,9 miliardi di dollari

Getty Images / ChinaFotoPress
Nella prima adolescenza, Soros si finse figlioccio di un impiegato del Ministero dell’agricoltura ungherese per restare al sicuro durante l’occupazione nazista dell’Ungheria. Nel 1947, fuggì dal paese per vivere con i suoi parenti a Londra. Si mantenne alla London School of Economics facendo il cameriere e il facchino.
Dopo la laurea, ha lavorato in un negozio di souvenir prima di ottenere un impiego come banchiere a New York. Nel 1992, la sua famosa scommessa contro la Sterlina lo rese miliardario.
Dopo la morte del padre, il magnate Li Ka-shing ha dovuto lasciare la scuola per sostenere la famiglia





Patrimonio netto: 30,1 miliardi di dollari

Dario Cantatore/Getty Images
Ka-shing è scappato dalla Cina continentale a Hong Kong negli anni Quaranta, ma suo padre morì quando lui aveva 15 anni, rendendolo responsabile del mantenimento della famiglia. Nel 1950, avviò a propria compagnia, Cheung Kong Industries, che iniziò producendo plastica per ampliarsi in seguito al settore immobiliare.
Sheldon Adelson ha abbandonato il college ed è cresciuto dormendo sul pavimento di un caseggiato di Boston






Patrimonio netto: 33,6 miliardi di dollari
Adelson, figlio di un taxista, è cresciuto a Dorchester, nel Massachusetts, e ha iniziato vendendo giornali all’età di 12 anni, spiega Bloomberg Businessweek.
Un profilo Forbes spiega che, dopo aver abbandonato il City College of New York, “ha costruito una fortuna gestendo distributori automatici, vendendo pubblicità sui giornali, aiutando le piccole imprese a quotarsi in borsa, costruendo condomini e organizzando fiere campionarie”.
Adelson ha perso quasi tutto il suo patrimonio nella crisi del 2009, ma ne ha recuperato gran parte negli anni seguenti. Adesso gestisce Las Vegas Sands, la maggiore società di casinò al mondo, e Forbes lo considera il finanziatore politico di più alto profilo.
Il co-fondatore di Oracle, Larry Ellison ha abbandonato l’università dopo la morte della madre adottiva, e ha svolto lavori occasionali per otto anni






Patrimonio netto: 48,2 miliardi di dollari

AP Photo/Eric Risberg
Nato a Brooklyn, New York, da madre single, Ellison è stato cresciuto a Chicago dagli zii. Dopo la morte della zia, Ellison abbandonò l’università e si trasferì in California per svolgere lavori occasionali per i successivi otto anni. Ha fondato la compagnia per lo sviluppo di software Oracle nel 1977, oggi una delle maggiori compagnie IT al mondo.
Il settembre scorso ha annunciato il proprio piano per dimettersi da AD di Oracle per diventare CTO e direttore esecutivo.
Guy Laliberté faceva il mangiatore di fuoco prima di fondare il Cirque du Soleil





Patrimonio netto: 1,33 miliardi di dollari

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All’inizio della sua carriera, Laliberté aveva il fuoco in corpo — letteralmente. Il busker canadese suonava la fisarmonica, camminava sui trampoli e mangiava il fuoco.
In seguito tentò la fortuna e comprò un biglietto di sola andata da Québec a Los Angeles per la compagnia circense che a Las Vegas sarebbe diventata il Cirque du Soleil, di cui ora Laliberté è AD.
Il fondatore di WhatsApp Jan Koum puliva i pavimenti




Patrimonio netto: 8,2 miliardi di dollari

David Ramos/Getty Images
Koum è nato a Kyiv, in Ucraina. A 16 anni, accompagnò la madre in California, dove si assicurarono un appartamento tramite sussidio governativo. Per sopravvivere spazzava i pavimenti in un negozio locale.
Secondo l’Independent, Koum imparò l’informatica da autodidatta. Nel 2009, co-fondò il più grande servizio di messaggistica istantanea WhatsApp, che fu acquisito da Facebook nel 2014 per 22 miliardi di dollari.